Une très belle deuxième journée pour le festival international de la bande dessinée à Angoulême ! Eh oui, le voile de nuage s’est levé pour laisser place à un soleil radieux. Malheureusement, je n’ai pas pu me rendre à l’exposition Tezuka, trop de monde…
Un grand nombre d’expositions de qualité
Désolé de ne pas avoir tenu ma promesse mais sachez que le FIBD proposait cette année un grand nombre d’expositions de qualité, il fallait faire des choix. Surtout avec le nombre de festivaliers présents pour cette 45ème édition.
Sans revenir sur les expositions microédition/fanzines d’hier, il m’a tout de même été possible de profiter du travail de Gilles Rochier, sur « Faut tenir le terrain », celui de Naoki Urasawa avec « L’art de Naoki Urasawa », ainsi que celui du bien connu Winshluss et son « Un monde Méroll ».
À coups de planches originales et d’installations mesurées, arpenter l’espace Franquin ou le vaisseau Mœbius est un réel plaisir. Mon coup de coeur, c’est l’expo’ de Gilles Rochier : de la bande dessinée de banlieue qui sent bon le béton et les couplets énervés d’NTM. Projetté dans les années 90, l’ambiance est bonne, on a envie de rester.
L’ambiance est bonne, on a envie de rester
Donc on reste et il y en a pour tout les goûts ! En plus, avant de quitter l’espace Franquin, on peut profiter de « L’art de Naoki Urasawa », avec sa présentation riche, retraçant très précisément le parcours du mangaka tokyoïte.
Quand on descend du plateau angoumoisin pour se diriger vers la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, il est possible d’admirer le travail de Winshluss dans son délire Méroll, accueilli au sein du vaisseau Mœbius.
Il me reste quelques regrets, notamment celui de n’avoir pas pu me rendre à l’exposition de Marion Montaigne, avec « Marion Montaigne ramène sa science ». Mais dans un temps limité, et cherchant à éviter la foule et la cohue, j’ai dû faire des choix (comme je l’écrivais plus haut).
Marion Montaigne ramène sa science
Et les Lectures hebdomadaires ramènent leur fraise ! Même si elles ne couvent que les deux premiers jours du festival, en “live”, je m’occuperais de concocter une petite reviews lorsque les lauréats seront connus, promis !