Hôtel de Ville d’Angoulême – salle de presse

Quel engouement pour Angoulême : la bande dessinée (c’est tout), et du monde, du monde, du monde !! Cette année, le FIBD était particulièrement surpeuplé… Comme d’habitude, l’événement s’est déroulé dans une ambiance ouverte, bon enfant et sociable ; fan ou néophyte, experte ou amatrice, progressiste ou rétrograde, gentillet ou punk (tard le soir), d’éditions industrielles ou d’éditions indépendantes, de grands ou de petits, de  »rock stars » ou d’inconnus, de Français ou d’Allemands, de Japonais ou de Coréens, d’Angoumoisins ou de touristes…

Seulement trois jours sur quatre, mais trois jours magnifiques, voir merveilleux, qui m’ont permis de récolter de nombreuses informations, des témoignages, des interviews, des photos, des vidéos, et forcément, beaucoup trop de bandes dessinées ! Même si on n’a jamais trop de bandes dessinées ! Et vous allez profiter de cette  »récolte’ car elle sera mise en ligne : cinq interviews d’auteurs plus ou moins connus et reconnus, dont un Serbe, un Allemand, un Suisse, et deux Français (essayez de deviner lesquels!) ; des vidéos de leurs dédicaces seront également postées.

Le Monde des Bulles (Hall 1) – stand Urban Comics

Aujourd’hui la quatrième partie du Prés en Bulles va accompagner cet article, et dès la semaine prochaine, les articles sur Angoulême vont commencer à apparaître : j’en promets donc au moins cinq. Tous tournés vers le processus de création propre de chaque auteur, mais aussi cherchant à décrire leurs points de vue respectifs sur le monde de la bande dessinée et sur les nouveaux modes d’édition.

Je vous laisse contempler l’illustration murale de Marc-Antoine Mathieu,  »Réalité, sortie de secours », réalisée en 2003 pour le festival.

Réalité, sortie de secours © Marc-Antoine Mathieu, 2003